Accueil excellent. Un bar esprit "pub" qui change des bistrots/Tabac/PMU Arpajonnais. Comme disent les anglais "A white raven"
PS : Bière IPA... et un mojito au format "pro" qui a le goût d'un mojito - ce qui change des franchises Au Bureau et Co
Une parodie de "Bar à Tapas" !
Accueil faussement sympathique sans aucun esprit convivial auprès des clients.
Tapas très chères pour une qualité médiocre. Jambon "ibérique" ultra sec et caoutchouteux sortit sûrement tout droit du supermarché discount du coin. Portion de croquetas minuscules sans saveur sentant l'huile de friture.
Le vin au verre à 6€ conseillé par le patron proche de la piquette.
Lieu extrêmement bruyant en terrasse bordant une route très passante.
Seul point à peu près positif, l'intérieur du bar est plutôt cosy.
Très dessus plus d'une heure d'attente. Commander une choucroute 5 viandes nous avons eu que 4 viandes. Aucune excuses du patron il été même agressif quand on n'a demandé un geste sur l'addition est en plus il à voulut que des espèces.
Nous sommes arrivés à 13 h 30 a 15h nous étions toujours pas servis les serveuses étaient clairement perdues mais gentil et les plats arrivais n importe comment et les cuisines +que longue pour sortir 2 assiettes nous sommes partis sans manger après 1h30 d attente
Une ambiance et un décor sympathique, un personnel adorable, gentil, souriant et affable. L'expérience est agréable et détendue. La cuisine pêche énormément et ne correspond pas aux standards attendus, sans qu'un plat sauve l'autre. Ce n'est pas mauvais , mais ce n'est pas espagnol. Peut-être les croquetas sauvent le tout, ...oui nous y retournerons pour les croquetas.
Service très efficace, ambiance agréable, tapas variés et pour la plupart de ceux que nous avons goûtés très bons.
Seul bémol, le jambon supérieur à 15 euros quelconque et pan con tomate insipide, dommage !
Découverte accidentelle et exceptionnelle. Le service est à la hauteur de la cuisine : merveilleux !
Patronne, fille de patronne, serveuse, cuisto : tout était au top ! On reviendra... Encore et encore